Mur du souvenir

A mon Grand-Oncle
Je salut sa mémoire et je le remercie ainsi que tous ses jeunes Soldats qui sont morts pour la défense de notre pays.
"ne les oublions pas"

A mon Grand-Oncle,je salut sa mémoire et je le remerçie ainsi que tous ses jeunes Soldat qui sont morts pour la défense de notre pays.

je rends hommage à mon grand père mort à craonne au chemin des dames le 4 Mai 1917, soit 2 mois avant la naissance de son fils rené. Il a laissé 3 enfants et une veuve éplorée. Nous les vivants n'oublions jamais ces milliers de soldats morts pour la patrie.

une profonde pensée pour mon grand père mort à craonne au chemin des dames un 4 mai 1917, 2 mois avant la naissance de son 3° enfant. Il a laissé une veuve dans le besoin et 3 orphelins. Nous les vivants, souhaitons de ne plus jamais voir cela.

J'adresse ma profonde émotion à cette personne dont le nom et prénom identiques au mien est décédée en laissant que la trace de son nom.

Abbération totale de l'armée française, qui n'a pas su donner le grade que méritait cet homme valeureux, promu et comfirmé cinq fois au grade de caporal, il aurait mérité à titre posthume qu'on l'élève au grade de MAJOR, avec attribution de la LEGION D'HONNEUR!
On le fait bien de nos jours pour les soldats morts au combat en AFGHANISTAN.
En tant que retraité de la Gendarmerie, je suis consterné de cette absurdité de l'armée française face à cet homme méritant! Consternant.!
Je tiens à rendre à cet homme le plus grand hommage qui puisse être fait à un militaire de grande valeur!
Cordialement aux archivistes.
PS/ Ce cas est à proposer à l'étude de la rectification de cette erreur à la présidence de la république, tant pour son courage que pour sa valeur.

Mon père,du 208 eme régiment d'infanterie, a été blessé à Craonne, le 16 avril 1917. Il me parlait souvent du lieutenant Mayer,tué à l'attaque du Bois Beaumarais.
Je me suis rendu plusieurs fois au cimetierre de Pontavert, ou mon père venait se recueillir sur les tombes de ses copains tués lors de cette bataille.
Il avait beaucoup de respect pour son lieutenant
Mon père est décédé dans sa 97 eme année. Il n'a jamais oublié son lieutenant.

A l'occasion de mes 95 ans mon arrière-petite fille a osé ouvrir le petit journal que tu as écrit au crayon de papier et que tu tenais chaque jour au front. C'est tout ce qui nous a été renvoyé ainsi que ton portefeuille tâché de ton sang.
Je voudrais te dire que ton souvenir a jalonné toute ma vie, ta présence m'a manqué. Je voulais te rendre un dernier hommage ce jour par ces quelques fleurs déposées devant le monument de la fosse collective de Pargny-Filain à Soupir.
Ta fille Micheline.

c'était mon grand pere maternel.