Fritz Hermann SEIFERT
Unteroffizier - Armée allemande
Date du décès :
Commune du décès :
Hurtebise
État-civil
Nom :
SEIFERT
Prénom(s) :
Fritz Hermann
Date de naissance :
Commune de naissance :
Markneukirchen
Département ou province de naissance :
Inconnu
Pays de naissance :
Allemagne
Service militaire
Armée :
Armée allemande
Grade :
Unteroffizier
Régiment :
Infanterie Regiment 102
Lieu de recrutement (département) :
Inconnu
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Voir moins
Décoration(s) :
Inconnue
Matricule au Corps :
0177337SEIFERT
Sépulture
Lieu d'inhumation :
Le cimetière allemand de Montaigu 1
Lieu d'inhumation (commune) :
Montaigu
Lieu d'inhumation (département ou province) :
Aisne
Lieu d'inhumation (pays) :
France
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Type de sépulture :
Tombe individuelle
Sépulture n° :
271
Décès
Date du décès :
Lieu du décès (Commune) :
Hurtebise
Lieu du décès (Département) :
Aisne (02)
Autres informations
Informations complémentaires :
Le 25 janvier 1915 depuis la ferme d'Hurtebise. Touché par une gerbe de mitraillette et grièvement blessé, il fut encore transporté sur le terrain de bandage au monastère de Vauclere, où il décéda toutefois peu après. Le Feldwebel Herzog de la compagnie Seifert écrit dans le livre « Der 102er », bien sûr non sans le pathos habituel : « Pendant la nuit du 26 janvier, je dus me rendre au couvent de Vauclere pour constater les membres de la 9e compagnie qui y étaient admis. J'y ai trouvé le sous-officier Seifert, volontaire d'un an, de Markneukirchen, couché sur son lit de douleur. Il était très heureux de me reconnaître et que je le réconforte. Neuf balles de mitrailleuse avaient transpercé son corps, il était très gravement atteint. J'avais peu d'espoir qu'il s'en sorte et je ne me suis pas trompé. Alors que j'avais déjà continué ma ronde, le blessé grave me fit rappeler une nouvelle fois. Il me demanda : « Avons-nous gagné ? J'ai pu répondre par l'affirmative. Il me dit alors, satisfait : 'Alors, c'est bien ! Ce furent ses derniers mots. Un sourire silencieux passa sur son visage pâle, puis il ferma les yeux, épuisé, pour ne pas les rouvrir. Un brave 102 était passé à la grande armée.
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