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Paul Louis Joseph CURÉLY

Aspirant - Armée française
Mort pour la France
Date du décès :
Commune du décès : Aizy-Jouy
Circonstances du décès : Tué par une balle de mitrailleuse à la carrière du Préfet, lors de l'attaque du fort de la Malmaison
Image incitant à la contribution

État-civil

Nom : CURÉLY
Prénom(s) : Paul Louis Joseph
Date de naissance :
Commune de naissance : Charleville
Département ou province de naissance : Ardennes
Pays de naissance : France
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Nom du père : CURÉLY
Prénom du père : Joseph Nicolas
Nom de la mère : PÉRARD
Prénom de la mère : Jeanne Alexandrine

Service militaire

Grade : Aspirant
Compagnie : 8e Bataillon - Pièce de 37mm
Classe : 1915
Lieu de recrutement (département) : Marne
Lieu de recrutement (Commune) : Châlons-sur-Marne
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Décoration(s) : Croix de Guerre
Citation(s) : Cité à l'ordre du régiment le 25 juin 1916 - Cité à l'ordre de la brigade le 30 décembre 1916.
Matricule au Corps : 16637
Matricule au recrutement : 1701
Autre(s) information(s) militaire(s) : Passé au R.I.C.M. le 23 octobre 1916 - Nommé caporal le 6 janvier 1917, sergent le 20 juin 1917 et aspirant le 20 juillet 1917.
Pays recrutement : France

Sépulture

Lieu d'inhumation : cimetière communal
Lieu d'inhumation (commune) : Soulanges
Lieu d'inhumation (département ou province) : Marne
Lieu d'inhumation (pays) : France
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Type de sépulture : Caveau familial

Décès

Date du décès :
Circonstances du décès : Tué par une balle de mitrailleuse à la carrière du Préfet, lors de l'attaque du fort de la Malmaison
Cause officielle de la mort : Tué à l'ennemi
Lieu du décès (Commune) : Aizy-Jouy
Lieu du décès (Département) : Aisne (02)
Date de transcription de l'acte de décès :
Lieu de transcription de l'acte de décés (Commune et département) : Soulanges - Marne

Autres informations

Informations complémentaires : Dans le livre : Malmaison, 23 octobre 1917 de Gaston GRAS. Voici ce que dit l'auteur en parlant de l'aspirant : Curéry s'écroule frappé par une balle de mitrailleuse, un filet de sang claire rayant sa joue. Un peu plus loin , il ajoute en parlant du corps de l'aspirant qui est a l'intérieur de la carrière du Préfet : Cuéry repose auprès d'un de ses affûts de 37 comme endormi, un filet de sang sur sa joue, la figure pourtant paisible.
<< Nous les coloniaux, disait-il naguère, nous allons à la mort le sourire aux lèvre . . . >>. Pauvre petit cadavre d'un ami, exécrable spectacle qui fait crisper les poings de rage.
  • CONSEIL GÉNÉRAL DE L'AISNE le 08/06/2012
  • VENDEUIL Michel le 10/11/2022

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