Georges Auguste VAILLOT

Caporal - Armée française

Mort pour la France

Date du décès : Lundi 25 juin 1917

Commune du décès : au poste de secours d'Hurtebise

Circonstances du décès : blessé par éclats d'obus lors des combats pour la reprise de la Caverne du Dragon

État-civil

Nom : VAILLOT

Prénom(s) : Georges Auguste

Date de naissance : Dimanche 27 décembre 1896

Commune de naissance : Crépand

Département ou province de naissance : Côte-d'Or

Pays de naissance : France

Profession : Pâtissier

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Nom du père : VAILLOT

Prénom du père : Jean Jules (dit Eugène)

Nom de la mère : SAUNIER

Prénom de la mère : Augustine (dite Marguerite)

Service militaire

Armée : Armée française

Grade : Caporal

Régiment : 152e Régiment d'Infanterie

Lieu de recrutement (département) : Côte-d'Or

Lieu de recrutement (Commune) : Dijon

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Décoration(s) : Croix de Guerre

Citation(s) : Cité à l'ordre du régiment n°92 du 2 juin 1917 : Soldat d'un courage et d'un entrain remarquable, s'est distingué d'une façon toute particulière à l'attaque du 22 mai 1917, capturant à lui seul, six prisonniers.

Matricule au Corps : 14299

Matricule au recrutement : 1076

Autre(s) information(s) militaire(s) : Incorporé le 12/08/1915 au 109e RI, sous le n° de matricule 1076. Le 04/12/1915, passé au 152e RI 3e. <br> Nommé caporal le 02/06/1917 (mention : Excellent caporal pour sa belle conduite au feu). <br> Blessé le 25/06/1917 au combat de la ferme d'Hurtebise, par éclats d'obus, plaies multiples sur toute la surface du corps. Il succomba le 25/06/1917 au poste de secours Foulon, secteur d'Hurtebise.

Bataille(s) : LA PRISE DE LA CAVERNE DU DRAGON (Juin 1917) COMBATS A LA CAVERNE DU DRAGON

Sépulture

Lieu d'inhumation (commune) : Plombières-les-Dijon

Lieu d'inhumation (département ou province) : Côte-d'Or

Lieu d'inhumation (pays) : France

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Type de sépulture : Caveau familial

Information(s) complémentaire(s) sur le lieu d'inhumation : Son père, Jean Jules VAILLOT, avait du l'identifier. Il lui avait été diffile de pouvoir affirmer que le corps présenté était bien celui de son fils tant il était déchiqueté. Seule sa dentition avait apporté un léger témoignage.