Eugène Henri TRIBOLLE

Soldat - Armée française

Mort pour la France

Date du décès : Samedi 14 septembre 1918

Commune du décès : Vierzy, à l'ambulance 5/20

Circonstances du décès : Blessures de guerre

État-civil

Nom : TRIBOLLE

Prénom(s) : Eugène Henri

Date de naissance : Vendredi 04 septembre 1896

Commune de naissance : Roussac

Département ou province de naissance : Haute-Vienne

Pays de naissance : France

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Nom du père : TRIBOLLE

Prénom du père : François

Profession du père : Exploitant agricole à la propritété de La Borderie, commune de Roussac

Nom de la mère : LÉGER

Prénom de la mère : Françoise

Profession de la mère : Exploitanet agricole à la propritété de La Borderie, commune de Roussac

Autre(s) information(s) familiale(s) ou généalogique(s) : Deux sœurs : Françoise-Catherine et Marie. Trois frères : Louis, né le 31 janvier 1881 à Roussac, mort le 24 septembre 1914 au fort de la Pompelle. Léon, né le 22 septembre 1886 à Roussac, mort le 28 juillet 1916 d'une tuberculose pulmonaire contractée au front. Henri, né le 11 octobre 1889 à Roussac, mort le 28 février 1933.

Service militaire

Armée : Armée française

Grade : Soldat

Régiment : 43ème Régiment d'Infanterie

Lieu de recrutement (département) : Haute-Vienne

Lieu de recrutement (Commune) : Magnac-Laval

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Décoration(s) : Croix de Guerre

Citation(s) : A l'ordre du régiment n°692 du 8 septembre 1918 : Fusilier d'élite. Le 18 août a maintenu sous un feu violent et précis une mitrailleuse ennemie et a permis au grenadier de son groupe de s'en emparer.

Matricule au Corps : 12093

Matricule au recrutement : 113

Autre(s) information(s) militaire(s) : Incorporé le 10 avril 1915, il servit successivement au 78ème RI, au 127ème RI (à compter du 23 novembre 1915), puis au 43ème RI (à partir du 2 décembre 1915). Il fut blessé une première fois à Vauclerc le 20 avril 1917, par un éclat d'obus qui lui causa une plaie pénétrante à la fesse droite. Il rejoignit son unité, et fut admis à l'ambulance 4-53 du 10 février au 4 mars 1918 pour une intoxication au gaz (obus asphyxiant et ypérite) survenue en service commandé au Bois Marteau. Il fut de nouveau blessé et admis à l'ambulance 5-20 le 14 septembre 1918 pour de multiples plaies causées par des éclats d'obus.