Mur du souvenir

Je rends hommage à nos soldats tombés pour défendre nos valeurs, la démocratie. Qu'on ne les oublie pas.

A nos fils, nos frères, nos pères, morts récemment pour la France

A toi mon homonyme
Je ne t'oublie pas.

Tout notre amour pour votre courage et votre bravoure; de cette Bretagne qui ne vous oublie pas;

Ta famille espagnole/catalane n'a jamais oublié ta decision exemplaire d'aller au combart pour la liberté et le progrés. L'empreinte que tu as laissé de ton passage energique a Mallorca et Barcelone n'est pas encore effacée. Le Chili qui t'a vu naitre, en donne encore bien des braves comme toi. A bientot cousin Vicente

Abel Bastié était mon arrière grand-père, nous n'avons jamais su où il reposait. j'ai retrouvé sa tombe et j'ai pu m'y recueillir grâce à ce site...

Toi dont les parents venaient d'Italie, tu as versé ton sang et donné ta jeunesse à la France, tu t'es battu pour la Liberté, tu as eu peur, tu as lutté, tu as pleuré, tu as douté ... pour ton pays de coeur, le pays d'adoption . Je ne t'ai pas connu, bien sûr, mais je t'admire et je t'aime.
Repose en paix auprès des tiens qui t'ont rejoint.

Petite-fille de Léonce Armand PEQUEREAUX je ressens une vive émotion à l'évocation de ce grand-père que je n'ai jamais vu, ni embrassé. Je suis née le 07/09/1941.
Mort le 30 octobre 1914, il est pour toujours GLORIEUX pour moi comme tous les milliers d'autres tombés pour la FRANCE .

Depuis vingt ans nous nous rendons régulièrement chez nos enfants à Sillery, village détruit en 1918.

Je ne t'ai pas connu, mais sache que tu as été recherché par ta soeur qui est ma grand-mère, et par mes parents ,il reste aujourd'hui ma marraine qui était une nièce pour toi, elle ne t'a pas connu, mais c'est grâce à toi et à tous les combattants que nous sommes tous là aujourd'hui.
C' est un hommage à ta mémoire que je te rends aujourd'hui, pour tout ce que tu as connu durant cette affreuse guerre, loin de ta famille, de tes amis. Ma grand-mère en a eu longtemps du chagrin.

J'aurais aimé te connaître

Ton aieul

J'ai mis bien du temps à te retrouver. La douleur était trop vive pour tes frères et ta soeur, ils ne parlaient de toi qu'à voix basse. Ce ne sont pas des choses à raconter aux enfants. Mais ils venaient te rendre visite chaque année à la Toussaint avec mes parents. Vous êtes désormais tous ailleurs. Alors je prends le flambeau pour essayer de ressusciter au moins ton souvenir.
Une petite nièce que tu n'as pas eu le temps de connaître.