Mur du souvenir

Petit fils de Berthe BOURLET épouse PIVAIN, je tiens à rendre hommage à mon grand oncle sur qui je recherche des informations depuis de nombreuses années.
Avant de partir pour cette horrible guerre, Georges BOURLET avait fait donnation de terrains (vergers) à sa soeur Berthe (ma grand-mère paternelle). Bien des années après, au décès de mon père, Lucien PIVAIN, je suis devenu propriétaire d'une petite parcelle de ces vergers situés à Torcy .
Merci à titre posthume.

Je suis heureux d'avoir pu retrouver la trace de mon grand père maternel dont jamais je n'ai eu la moindre nouvelle.
Il est vrai que quand ma grand-mère n'a pas eu le temps de beucoup le connaître étant de jeunes mariés.
Je remercie Mr gilles Gastel de la mairie de Vauxaillon de m'avoir permis de retouver sa trace en ce grand cimetière militaire

Je viens de trouver ce site avec une très grande émotion et je peux dire que je suis fière de mon oncle et j'ai transmis aussi à mes petits enfants cette grande fiertée d'avoir eu un oncle qui a donné sa vie et qui a souffert lors de cette guerre. Nous pouvons lui dire merci et lui rendre un hommage le 11 novembre et nous irons au monument de quemper guézennec où son nom est marqué et j'en suis très fière.

bjr grand père, où que tu sois je pense à toi, j'aurais aimer te connaitre mais la vie en à decider autrement. Je t'envoie mille baiser et je voudrais que tu veilles sur Philippe et Pierre Alexandre partis eux aussi trop tôt. ta petite fille marie jo

François Moreau né à Betz le Chateau 37 a eu un fils Fernand né le 1 Août 1900, puis une fille Jeanne née en 1912, et enfin André né le 30 Novembre 1914, qu'il n'a pas connu. Cet homme est le grand père de mon mari Jacques Moreau, lui même fils de Fernand. Il y avait chez Fernand Moreau une photo de sa mère( je crois me souvenir qu'elle s'appelait Juliette) entourée de ses 3 enfants, le plus jeune André encore nourrisson sur ses genoux.
La vie de Fernand qui avait 14 ans à la déclaration de la guerre a été bouleversée car il a comme beaucoup dû travailler pour aider à la subsistance de sa famille. Mon beau père Fernand était fier de nous montrer les cahiers d'écolier de son père qui était un homme intelligent et astucieux. Il était en quelque sorte l'homme de confiance d'un gros propriétaire terrien: une année où les récoltes de blé étaient couchées par un gros orage, il avait fabrique des sortes de grandes cages à poules qu'il déplaçait au fur et à mesure que les poules avaient mangé le grain à terre. La récolte n'était pas totalement perdue...
Si des membres de la famille lisent cette contribution je les invite à compléter avec ce qu'ils connaissent de son histoire.
J'irai à Pontavert en cette année 2014 et j'y emmènerai mes petits enfants, afin qu'ils connaissent leur propre histoire familiale.

Hommage à ce combattant.
Aujourd'hui, 30 octobre 2014, centième anniversaire de sa mort.
Je m'attache à collecter un maximum de renseignements sur cette fiche en collaboration avec un collègue de travail, petit fils de ce combattant.
Une pensée plus particulière ce jour.

JULES MERCI POUR TES ACTES, NOTRE FAMILLE ET MOI, TON COUSIN, TENONS A RAPPELLER NOS VALEURS POUR LA REPUBLIQUE

je souhaite vous rendre hommage Raymond, j'ai entendu parlé de vous par ma belle mère qui est décédée cette année à l' âge de 94 ans, vous aviez 28 ans, je viendrais me recueillir sur votre tombe, je suis vraiment heureuse d'avoir retrouvé votre sépulture. votre nom est gravé sur le monument aux mort de Saint-Laurent de gosse. la famille se souviens.

Lors de notre séjour à Reims, nous nous sommes rendus au cimetière militaire de SOUPIR 1 où repose notre grand -père avec tous ses compagnons d' armes morts pour notre liberté.
Instant d'émotion intense, parmi toutes ces tombes, où Recueillement, Respect, et Réflexion...! nous ont tous habités.

MERCI à EUX

Corinne, Julien, Claudette, Christian, Leila, Guy.

3/Août 2014

Après m'être recueillie sur la tombe au cimetière de Pontavert de mon grand oncle je ressens un certain malaise. Voir toutes ces tombes, ces milliers de tombes.
Ces nombreux cimetières me font prendre conscience de ce gâchis qu'à été cette guerre. J'ai pris le temps de penser et quand on voit tout çà on ne peut que penser à tous ces soldats qui se sont battus, à ceux qui sont morts, à ceux qui ont été blessés et sont rentrés blessés à vie. Comment reprendre une vie normale après tant d'atrocités. Ils ont vécus un enfer, ils ont été envoyés à la boucherie. Pourquoi avons nous la mémoire courte ? Plus jamais çà ! Cette visite aux chemin des Dames m'a été très bénéfique et je n'oublierai pas ces soldats morts qui ne demandaient qu'à vivre et étaient bien loin de savoir ce qui les attendait.