Mur du souvenir

Georges,

Grâce à vous les combatants de 1914 - 1918 nous avons conservé la souveraineté de notre pays. J'essaie de comprendre l'éloignement de vos familles, votre souffrance, votre peur, l'enfer de voir vos camarades tués aux combats, des moments passés dans les tranchées, mais je crois que cela m'est impossible de vraiment le réaliser ne l'ayant jamais vécu moi même. Je souhaite de tout coeur que l'humanité prenne conscience de l'horreur des guerres et que cela ne se reproduise plus.
Mes mots ne pourrons pas exprimer ma reconnaissance envers vous mais mon coeur restera toujours avec vous, ma parole servira à expliquer et perpétuer le souvenir, afin que vous ne soyez pas oublié.
Recevez ma gratitude, ma reconnaissance à vos actes héroiques.

Cela me fait bizarre.Je suis né en 1976

Grâce à vous, respect profond pour ces hommes, quel que soit leur camp, tombés dans des conditions effroyables et qui ont perdu leur vie, leur jeunesse et laissant derrière eux des familles, des amis dans la douleur. Que leur souvenir reste en l'Homme à jamais.

Mon cher grand-oncle 90 années se sont écoulées mais je pense très fort a toi gros bisous je t'aime

En plein hiver 1963, je suis parti seul avec ma 4L, malgré la neige, sur le site de Verdun pendant 4 jours. J'avais 23 ans etje voulais me rendre compte des conditions de vie au front etvoir tous ces lieux de souffrances et de sacrifices dont j'avaispris connaisance dans les livres, pendant mon service militaire.Que d'émotions, de stupeur, de visions d'enfer... Ces hommes-là étaient des modèles de courage et de détermination pour sauver leur pays, leurs villages, leurs maisone et leurs familles.Nous leur devons beaucoup. Jeunes, qui n'avaient pas souffert, n'oubliez jamais, en visitant un village de France, de vous recueillir devant le monument aux morts, de lire TOUS LES NOMS DE CES HOMMES, de leur rendre hommage et d'apprécier la chance de n'être pas nés vers les années 1890. Gilbert RIVIERE

Toi en 1914, ton frere Jean, mon grand père en Octobre 1918,tous les deux réunis sur le monument aux morts de notre village natal BIELLE en Vallée D'Ossau (64).

Mes pensées en hommage et pour le souvenir de mon grand-oncle, mort pendant la bataille du Chemin des Dames.

Je félicite ce combattant, du même mon que le mien, que je n'ai jamais connu, je le salut, car il servi la France en donnant jusqu'à sa vie, pour que nous soyons libre, à nous de lui faire honneur en unissant cette Europe, qui n'a su par le passé que répendre le sang de ces enfants, pour la gloire que de quelques uns.